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Bartok, concerto pour orchestre, final. Merci à Souris donc qui nous en a parlé !
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Commentaires
Les idées reçues sont des idées dominantes, auxquelles on a envie de tordre le cou.
Une question surgit alors: une idée a-t-elle un cou ?
Ce serait trop simple. Une idée, surtout losqu'elle est reçue, est insidieuse, et sans cou. La guillotine est inopérante...
Il faut donc expliquer, et cela n'est pas toujours facile. On essayera.
L | M | M | J | V | S | D |
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J’aime bien les cuivres éclatants à la Richard Strauss dans ce final presqu’atonal.
Pour en revenir au petit surdoué, Roberto Benzi qui dirige ici était un véritable enfant prodige. Je me souviens avoir vu un mélo biographique, le petit Roberto Benzi en culotte courte et boucles blondes faisant l’admiration des foules (sanglots).
Au solfège, on nous faisait pleurer avec le petit Mozart exploité par son père (sanglots), pour nous mettre la honte d’être les nullités irrécupérables de la dictée musicale, cette maltraitance.
J’ai trouvé une version du final du Concerto de Bartok, avec Seiji Ozawa, intéressante par les gros plans sur le chef, le travail des mains, du corps, on est loin du petit Jonathan…
http://www.youtube.com/watch?v=KtiWzLXsySc&feature=related
PS Qui a des nouvelles de l’Ours et de Hathorique ?