• "J'ai pas dit "Mann", j'ai dit "Bert"...

    C'est très tôt que mon frère Denis (Mikaël) devint un inconditionnel de Schubert.

    Il avait 5 ans, ce jour de 1954, où il demanda à notre mère qu'elle mette le quintette pour piano et cordes de Schubert, que j'évoquais hier.

    Mais, ce jour-là, Maman avait davantage envie d'écouter celui de Robert Schumann... Et elle pensa pouvoir bluffer mon frère.

     

    Mais dès les premières mesures, Denis se mit à protester énergiquement et d'un ton ou se mêlaient la frustration et la colère, soit de n'avoir pas été compris, ou bien d'avoir été "pigeonné", il s'exclama: "Mais j'ai pas dit "-mann", j'ai dit "-bert" !"

     

    Comme je vous ai proposé hier celui de Schubert, je vous propose aujourd'hui celui de Robert Schumann, avec cette coda fuguée qui conclue le final...  

     

    É muito cedo que o meu irmão Denis (Michael) se tornou um fã de Schubert. 

    Ele tinha 5 anos, neste dia, em 1954, quando ele pediu a nossa mãe para colocar o quinteto para piano e cordas de Schubert, que eu mencionei ontem. 

    Mas naquele dia, minha mãe estava mais disposto a ouvir um dos Robert Schumann ... E ela pensou que ele poderia blefar meu irmão. 

     

    Mas a partir das barras de abertura, Denis começou a protestar vigorosamente e em um tom ou misturava frustração e raiva, ou não ser compreendido ou de ser "pombo", ele exclamou: "Mas eu não disse"-mann ", eu disse," bert "!" 

     

     

    Como sugeri ontem que Schubert, proponho hoje que Robert Schumann, com a coda em forma de fuga conclui a final ...


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